Le 8 janvier 1463, François Villon quitte Paris définitivement. Voici La Ballade des pendus. Gloire à la poésie française !
Frères humains, qui après nous vivez,N’ayez les coeurs contre nous endurcis,Car, si pitié de nous pauvres avez,Dieu en aura plus tôt de vous mercis.Vous nous voyez ci attachés, cinq, six :Quant à la chair, que trop avons nourrie,Elle est piéça dévorée et pourrie,Et nous, les os, devenons cendre et poudre.De notre mal personne ne s’en rie ;Mais …
VERDU sur Éloquence : Tanguy à la tribune,…
“Il est bon !!”