Alexandre Dumas ne s’amuse pas ici, politiquement parlant. Repris d’un conte fantastique, lire son évocation glaçante de la profanation des sépultures royales, en octobre 1793…
Dumas, ici, ne blague pas. Il dit tout, il comprend tout de la chienlit maligne des révolutions. Et ces lignes nous parlent si nous pensons à celle qui s’active aujourd’hui, en France, certes différente dans ses formes et ses objectifs, mais aussi pareille dans sa substance délétère et ses basses-œuvres. Sur cette nature profonde de …
Anne sur Journal de l’année 14 de Jacques…
“Très beau commentaire en vérité. Je suis d’ailleurs persuadée que Bainville vous approuverait !”