Un Article de Stéphane BLANCHONNET paru sur à-rebours.fr et dans L’AF2000. Et un article qui rappelle utilement les fondamentaux de la politique d’Action française. LFAR « Oui ou non, l’institution d’une monarchie traditionnelle, héréditaire, antiparlementaire et décentralisée est-elle de salut public ? » Telle est la question fameuse posée par Maurras en 1900 à ses contemporains – …
Les jeunes militants d’Action française Provence sont-ils les indignés de la Tradition, les défenseurs des racines, les tenants d’une réaction populaire contre les fausses élites ? Après avoir chahuté à Aix les élus PS universellement soupçonnés de corruption par la population de la région, voici qu’ils viennent de marquer leur désaccord de fond avec la …
Pierre Nora est membre de l’Académie française depuis 201 « L’identité nationale, vous disais-je, serait peut-être aussi malheureuse s’il n’y avait pas un seul immigré, car le problème principal de la France ne me paraissait pas la puissance de l’Islam, mais la faiblesse de la République » Pierre NORA de l’académie française 28 janvier …
Lire la suiteOù Pierre Nora constate que le problème de la France est la faiblesse de la République
Retour, ce dimanche, sur cette frange de 35 ans d’histoire du royalisme français et d’histoire de l’Action française, qui a laissé des traces et des souvenirs durables dans le Midi et au delà. L’aventure des Rassemblements Royalistes de Provence commence, sous la présidence de Pierre Chauvet, le 8 juin 1969, entre les deux tours …
Lire la suiteLes rassemblements royalistes de Provence … 35 ans d’action politique
Dans un intéressant entretien avec Vincent Tremolet de Villers pour le Figaro [13.02], le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes reconnaît le décalage grandissant qui sépare le mouvement des idées de la vie politique française. Il plaide pour une articulation dynamique entre les apports du passé et l’esprit de conquête. Mais de quoi s’agit-il ? Reconnaissons-lui …
Lire la suiteLaurent Wauquiez : « On peut parler d’une trahison des élites politiques »
Frédéric Rouvillois, professeur de droit public à l’université Paris-Descartes, vient de jeter un pavé dans la marre en publiant « Etre ou ne pas être républicain ». Dénonçant l’usage littéralement diluvien du mot « républicain », l’auteur s’insurge contre le terme « République », piège sans issue qui gèle tout débat politique. Pour Frédéric Rouvillois, attaqué …
Lire la suiteFrédéric Rouvillois sur TV Libertés : « Être ou ne pas être républicain »
« En remontant du salut public […] jusqu’à sa condition royale, [Maurras] a pu ériger la preuve puissante, jamais réfutée, que la république en France, règne du nombre, des partis, et, à travers eux, de l’or et de l’Étranger, ne remplissait pas les conditions minimales d’un État; qu’elle ne pouvait donc masquer sa nullité politique …
Lire la suiteBoutang : « La république en France ne réunit pas les conditions minimales d’un Etat »
AUX MORTS DE FÉVRIER Les derniers coups de feu continuent de briller Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres Sur onze ans de retard serai-je donc des vôtres Je pense à vous ce soir, Ô morts de février. Robert Brasillach, 5 février 1945 (Poèmes de Fresnes, Minuit et …
Lire la suite« Je pense à vous ce soir, Ô morts de février »
Pourquoi les manifestations de janvier et février 1934, dont celle, tragique, du 6 février, n’ont pas débouché sur ce changement de régime, pour lequel l’Action française s’était toujours battue ? Maurice Pujo, après avoir conduit toute la campagne de l’Action française sur l’affaire Stavisky et dirigé l’action des Camelots du Roi, en a donné …
Lire la suitePourquoi le 6 février 1934 a été stérile : l’analyse de Maurice PUJO
La note précédente – l’analyse de Maurice Pujo – dit en quoi et pourquoi les révoltes de janvier et février 1934 furent sans lendemain. En quoi et pourquoi, du même coup, Maurras n’a pas cru que ces émeutes étaient l’occasion, comme disaient les anciens ligueurs et camelots, de ramener le Roi. Une frange insuffisante de l’opinion …
Lire la suiteMaurras a-t-il vraiment « voulu » le roi ? La réponse de Pierre Boutang