La fascination des héritiers et descendants de la révolution pour ses origines criminelles est quelque chose qui s’explique très facilement. Eric Zemmour notait il y a peu que Besancenot n’était pas ostracisé comme Le Pen, tout simplement parce que l’extrême gauche est « angélisé », disait-il, en France.
Et il a raison. Et c’est normal, ou du moins c’est compréhensible parce que c’est logique : la révolution est née dans la violence et la Terreur ; elle est née de et par la violence et la Terreur. Et c’est seulement parce qu’avec la Terreur elle a frappé de stupeur ses adversaires–au sens ancien et fort du terme stupeur—qu’elle a pu s’installer, se prolonger et se pérenniser.
Comment ses descendants et héritiers n’éprouveraient-ils pas une sorte de fascination morbide et, disons-le, une certaine forme d’attirance voire de tendresse envers les criminels politiques (pourvu, bien sûr, qu’ils soient d’extrême-gauche) ? Et en tout cas une sorte de presqu’impossibilité -à tout le moins une répugnance extrême…- à condamner ces militants révolutionnaires dans lesquels, consciemment ou non, ils se reconnaissent, peu ou prou ?…..
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