Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf ) :
Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf ) :
Nicolas Sarkozy, Angela Merkel et Vladimir Poutine meurent en même temps et se retrouvent en enfer.
A leur arrivée, ils repèrent un téléphone et immédiatement demandent quelle en est l’utilité.
Le diable leur dit qu’il peut être utilisé pour appeler la terre dans des circonstances exceptionnelles.
Considérant tous les trois que les circonstances sont exceptionnelles car ils n’ont pas eu le temps de régler tous leurs problèmes, ils décident de demander s’ils peuvent s’en servir.
Poutine demande donc d’appeler la Russie, il parle pendant 5 minutes et le diable lui dit qu’il lui doit 1 million de Roubles. Poutine fait un chèque.
La transition énergétique ? par André Pertuzio, à 12h Hôtel Malherbe, Place Foch. Renseignement, réservations : Pierre Jeanthon 06.71.02.26.47.
1. Note du 15 Août 1904 (Journal, Tome I, 1901/1918, page 18) :
« Les Français d’autrefois, plus sages que nos contemporains, se souciaient peu de la vaine liberté politique. Mais ils considéraient comme un privilège inaliénable, d’intérêt essentiel et supérieur, de consentir l’impôt. Nous n’en sommes déjà plus là, et le système du césarisme administratif s’étend et menace jusqu’à la bourse des citoyens. »
(Illustration : « le contribuable préssuré » : en 1900, les prélèvements obligatoires ne représentaient que 10% de la richesse nationale !…)
2. Note du 3 Août 1930 (Journal, Tome 3, 1927/1935, page 108) :
« Fondé pour consentir l’impôt et pour contrôler les dépenses publiques, le régime parlementaire est devenu le moyen de subvenir par l’impôt à des dépenses publiques croissantes. Destiné à protéger l’individu, les propriétés, les fortunes contre l’Etat, il est devenu l’instrument d’une distribution des richesses sous l’égide et avec l’intervention de l’Etat. En d’autres termes enfin, la démocratie, qui tend à l’égalité, ne peut tendre qu’au socialisme, c’est-à-dire au partage des biens.
Choix entre des dissipateurs, cuisson de soupe personnelle, syndicats de dépensiers, tout ce qu’on dit de la Chambre des Communes, du Reichstag ou du Plais-Bourbon revient au même. C’est la stérile constatation du mal. »
Après lecture de ces quelques lignes, et en laissant le lecteur tirer lui-même les conclusions du rapprochement qu’il nous a semblé intéressant de faire, nous proposons ci-dessous un extrait de l’article de Pascal Salin, dans Le Figaro magazine du 31 mai 2013 (il s’agit de la fin de l’article, celui-ci étant beaucoup plus long, et « démarrant », en réalité, sur un autre sujet…) :
Par-delà le discours dit de droite, dit de gauche ou d’ailleurs, l’essentiel touche aux fondamentaux… un choix de civilisation ! MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d’information civique et politique, en ligne depuis 2008 : http://www.magistro.fr/ * Marie-Laure des BROSSES, Présidente du Mouvement mondial des mères : Quand certaines féministes finissent par nuire aux femmes !* Maxime TANDONNET, …
Laurent Dandrieu évoquera Le cinéma entre morale et moralisme lors d’un Dîner-débat au restaurant Le Boléro de Ravel, 37 rue Gabriel Péri, 923000 Levallois-Perret (Métro Anatole France / Bus 174) à 20h. Réservation obligatoire ( renseignements : 01 47 57 05 81). —–
(5ource : Famille chrétienne, n° 1871, du 23 novembre 2013)
( pour consulter « l’Intégrale » – 302 tweets… – c’est ici, ou sur la colonne de droite de la Page d’Accueil, en-dessous de la page Facebook…) : lafautearousseau@AFRoyaliste Les déficits augmentent, la dette aussi ? La France comptait 16.000 fonctionnaires de plus fin 2012 ! (INSEE)… Et vogue la galère !…
La France n’a plus de chef d’Etat que nominalement. Telle est l’évolution inéluctable de nos institutions. Un vrai chef d’Etat est souverain, arbitre, non partisan par définition, voué à l’intérêt général. Nous n’avons plus que des hommes de parti qui se disputent une place que l’un d’entre eux ravit. Aujourd’hui, Hollande.
Nicolas Baverez, l’essayiste bien connu, vient d’éditer chez Albin Michel des Lettres béninoises (15 €). Pour mettre les Français ou plus exactement la classe dirigeante française devant la réalité d’aujourd’hui, il utilise le procédé, à la vérité facile, mais ô combien démonstratif, de l’anticipation : en 2040, le président du FMI qui est un béninois, Alassane Bono, se rend en France pour tenter de sauver ce petit pays d’Europe qui tombe en faillite dans un monde environnant prospère et en plein développement, car à la différence de ses concurrents la France n’a pas su ni voulu faire dans les trois dernières décennies, depuis 2010, les réformes qui s’imposaient et que la mondialisation exigeait.
Il a beau faire, il ne sait pas faire…
Merci à A.L. pour l’envoi…
Setadire sur Sitôt dit, sitôt fait
“Tout ce qui se fait aux Etats Unis vient ensuite en Europe: le bien , comme…”