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Voici l’Editorial de Jean-Baptiste d’Albaret, L’art de la diversion :
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Voici l’Editorial de Jean-Baptiste d’Albaret, L’art de la diversion :
On nous bassine, on nous culpabilise avec l’antisémitisme des Français, on accuse « l’extrême droite », ce monstre hideux aux contours incertains prisé par la gauche pour endosser toutes les turpitudes de la société. Et on évoque le climat des années 30 dans lequel retomberait une France renouant avec ses vieux démons racistes. Mais pourquoi …
( pour consulter « l’Intégrale » – 253 tweets… – c’est ici, ou sur la colonne de droite de la Page d’Accueil, en-dessous de la page Facebook…) : lafautearousseau @AFRoyaliste Travail dominical interdit dans le Bricolage: le gouvernement a 1 jour de congé par semaine ! Veinards ! lafautearousseau @AFRoyaliste 5 heures …
http://www.acip-presse.fr/equipe.htm
Dans Les Echos du 28 janvier 2014, Jean-Paul Huchon, président PS de la région Ile de France, émule de Michel Rocard, se déclare pour un « modèle fédéral à la française » affirmant sa confiance dans les collectivités locales et les corps intermédiaires. De ce modèle il veut poser les premières pierres avec le Gouvernement. Il a montré, à partir d’enquêtes que l’opinion publique fait crédit aux régions de l’efficacité et de la solidarité. Alain Rousset, président d’Aquitaine et surtout de l’Assemblée des Régions de France va plus loin en demandant un pouvoir d’adaptation des lois dans les régions ainsi dotée d’un pouvoir réglementaire. Il ajoute « Cela ne met pas en cause notre modèle républicain ». Max Staat (l’Humanité du 30/1/2104) commente cette dernière affirmation par un « A voir » qui laisse percer l’inquiétude des gardiens du temple …de la déesse Raison (celle de 1794). Laissons le dernier mot à Alain Rousset qui déclare « le problème de fond est que tout est encore trop centralisé »
Ces propos, qui s’inscrivent dans la ligne de la dernière conférence de presse du Président de la République témoignent bien d’une évolution qui prend acte du grippage de la machinerie bureaucratique et constate l’étouffement de toute la société. Au risque de mettre en en péril les fondements de son propre système ? Ce risque n’est pas exclu et les contradictions certaines. Alors que l’Ecole Républicaine, déjà mal en point, est secouée par Farida Belghoul et ses Journées de Retrait Scolaire, le ministre Peillon peut-il accepter une « régionalisation » qui menacerait plus encore l’édifice ? Les périodes de crise sont celles des crispations et se dessine au sein du gouvernement une césure entre ceux se retranchent dans les bastions de »l’Ordre » (police, gendarmerie, école) et ceux qui mesurant le risque d’asphyxie prendront le vrai risque de réformes profondes quoiqu’il en coûte pour leur cohésion.
Lire la suiteDe grands élus du PS penchent vers le fédéralisme français, par Joël Broquet*
Guy Bertran de Balanda vient de nous faire part du décès de sa mère. Il y a peu, c’était Bénédicte – l’une de ses sœurs – qui perdait son mari, notre ami lui aussi, Hubert de Lapeyrouse. La famille Bertran de Balanda est donc encore dans l’épreuve, si peu de temps après : Guy, Pierre, Bénédicte, …
Le clivage droite-gauche, mythe ou réalité ? par Chantal DELSOL, de l’Académie des sciences morales et politiques. Ce jeudi 13 Février, de 19H45 à 21H15, Espace Bernanos, 4, rue du Havre – 75009 Paris.
Qui suis-je ? Le débat identitaire fait rage. Succède aux éditocrates des plateaux télé la majorité silencieuse convertie à la marche, découvrant la joie sous les bannières et calicots de tradition. Elle y défend son identité sans trop savoir qu’elle en a beaucoup et sans doute devra-t-elle progresser mentalement pour ne pas retomber dans l’état cataleptique antérieur, celui du silence grognon.
Car on ne va pas passer toute la soirée sur le nombre des marcheurs. Continuer, oui mais comment ? C’est ça le problème. Cette question (piège) traverse tous les rangs de La Manif Pour Tous. La dispute se forme. Pause !
Il n’était pas si simple et pas tellement évident de tenir, dans la campagne aixoise, en pleine nature, un colloque d’Action française national * sur un thème plutôt inactuel, la journée – sans lendemain – du 6 février 1934 (80 ans, déjà !), et d’étudier, en corolaire (?), les moyens de la prise de pouvoir par l’Action française d’aujourd’hui ; autre thème inactuel non pas parce que trop vieux mais parce que, au mieux, à l’évidence largement prématuré … Qui plus est, le 6 février 1934 est le contre-exemple de ce projet.
Pourtant, le colloque national organisé par le CRAF ** n’a pas été sans intérêt. Le superbe cadre, d’abord : une immense bâtisse, aux intérieurs un rien suranné, construite sur un terrain boisé de toute beauté et, face à la grande maison, face à soi lorsqu’on en sort, l’aqueduc de Roquefavour ; l’atmosphère amicale, jeune, sympathique ; une centaine de participants dont les deux-tiers de jeunes ; l’accueil agréable ; la qualité des interventions ; l’ensemble a fait que ce colloque national a, semble-t-il, atteint ses objectifs.
Anne sur L’an 2000 ou la génération Macron
“D’accord avec Richard. La génération Macron n’est pas le tout de l’époque. Peut-être que plus tard…”