JE SUIS FRANÇAIS

Vous voulez participer à notre action de diffusion de nos Idées, faire connaître nos points de vue sur l’actualité, nationale et internationale, faire découvrir notre critique du Système, qui est la source de tous nos maux ?

Bref, vous voulez donner des ailes aux Idées qui sont les vôtres, vous voulez les voir conquérir de nouveaux esprits et un public de plus en plus large ?

Mais, vous le pouvez, et très facilement, par exemple des trois façons suivantes :

Lire la suiteVous voulez nous aider ? Vous le pouvez ! « C’est facile, c’est pas cher, et ça peut rapporter gros !… »

 On connaissait les « désirs d’avenir » de Ségolène; Harlem aurait-il des « désirs » lui aussi ? Des « désirs d’étoiles » ? Jaunes ?…

En fait, Désir est indigné : « le pauvre homme ! », comme dit Molière, dans Le Tartuffe, ou l’Imposteur…

On a envie de lui dire, en l’absence de Georges Marchais qui n’est plus là pour « meubler » les écrans : « dés-indignez-vous, mon pauvre, et cessez donc de donner des leçons de morale, vous qui êtes condamné ! »

Lire la suiteVeut-il faire porter l’étoile jaune aux Français qui votent Front national ? On a bien entendu, à la télé, le sonore « Taisez-vous, Elkabbach ! » : quand entendrons-nous un tout aussi sonore « Taisez-vous, H. Désir » ! »

(Suite de la première partie de ce Journal d’été, publiée mercredi dernier, 11 septembre, et fin de ces réflexions).

Se libérer de l’oligarchie.

Ce sont les mêmes qui, pour les mêmes raisons, passent leur temps à détruire l’équilibre du monde, au nom d’une mondialisation qui n’est que celle de l’argent, celle des moyens de pouvoir et dont les peuples doivent faire les frais. Ces gens, confortablement installés dans leurs bureaux, leurs avions, leurs hôtels, décident du sort des multitudes sans aucune émotion ; ils portent entre autres l’immense responsabilité historique de ces migrations fatales où des pauvres gens meurent par milliers et dont le Pape François à Lampedusa a voulu signaler l’horreur, en indiquant expressément la culpabilité directe des dirigeants de nos sociétés. Ce sont les mêmes encore qui ont créé ces impossibles cités où s’entassent des  déracinés, où ne prospère que le crime, et où ils se gardent bien, d’ailleurs, d’habiter, mais dont, dans leurs sordides calculs, ils espèrent faire des électeurs. Les misérables ! Et ils ont l’audace de faire des discours de compassion.

Lire la suiteJournal d’été, par Hilaire de Crémiers (II/II)