Pour « quoi », et dans quel esprit, nous « faisons mémoire »… :
Charles Maurras : « …je mets quelque chose au-dessus d’elle (l’espérance) c’est la mémoire, la sainte et grande mémoire d’un beau passé, quand il est plein de gloire et fort de vertu, car c’est avec lui que l’on fabrique un avenir solide, et des races vivaces »
Jean de la Varende : « …le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon ».
« …Aucun régime n’a fabriqué plus d’icônes, de statues, de mausolées, d’interdits, d’excommunications et de procès de sorcellerie que celui qui fit de l’athéisme une religion d’Etat, et du Bon Dieu un diable… » Que se passe-t-il quand le sacré est éradiqué ? : « Nous ne transmettons plus. Nous descendons nos drapeaux à la cave… …
« …L’événement prévu depuis les débuts du règne, depuis le mariage avec Marie-Thérèse, approchait. Le roi d’Espagne Charles II, beau-frère de Louis XIV et de l’empereur Léopold, allait mourir sans enfant. Selon que Charles II laisserait sa succession à l’un ou à l’autre de ses neveux, le sort de l’Europe serait changé. Le danger, pour nous, c’était que l’héritage revînt aux Habsbourg de Vienne, ce qui eût reconstitué l’empire de Charles Quint. D’autre part Charles II ne se décidait pas. D’innombrables intrigues se croisaient autour de son testament. Louis XIV pensait aussi, et avec raison, que si un Bourbon était désigné, ce ne serait pas sans peine et peut-être sans guerre qu’il recueillerait le magnifique héritage : Espagne, Flandre belge, une grande partie de l’Italie, le Mexique et presque toute l’Amérique du Sud. Pour un homme aussi sensé, c’était trop beau. Il savait maintenant que, dans tous ses projets, il devait compter avec les puissances maritimes. En outre, il était clair que l’Angleterre convoitait les colonies de l’Espagne. Louis XIV préféra donc négocier un traité de partage de la succession espagnole et, pendant près de trois ans, la carte de l’Europe fut maniée et remaniée de façon à donner satisfaction à tous les compétiteurs, Habsbourg et Bourbon, Bavière et Savoie. Les plans de Louis XIV étaient toujours dirigés par le principe des frontières et c’était en Lorraine, dans les Alpes, à Nice, qu’il cherchait des compensations à ses abandons de l’héritage espagnol. La mauvaise foi de Guillaume d’Orange (ci-dessus), au cours de ces pourparlers, est certaine, car seule l’Angleterre, dans ces projets, ne recevait rien.
Nous sommes comme tout le monde : nous aimerions vivre dans un monde sans violence ni pauvreté, sans Cancer ni Sida, sans guerres ni pollution; un monde où l’on ne ferait qu’écouter chanter les gentils oiseaux dans les jolis arbres de belles villes toutes propres, sans insécurité ni braquage ni sirènes de police… Bien sûr que tout un chacun préfèrerait une terre où tout le monde il serait beau, tout le monde il serait gentil…
Mais, ça, c’est dans le monde de Martine, chez Walt Disney (et encore, même là, il y a de gros méchants…) ou dans les Contes de fées. Notre monde est différent, il est violent, et il l’est de plus en plus. Et les forces de l’ordre sont de plus en plus confrontés à des délinquants d’un nouveau style, ultra-violents et – pour un très grand nombre d’entre eux – ne rêvant que de « crever du flic ».
…et Marc Laffineur – Secrétaire d’Etat à la Défense a pris une initiative heureuse : il a convié 25 militaires ayant servi en Afghanistan, et 25 anciens combattants au Stade de France, à l’occasion du match du Tournoi des VI Nations, France-Angleterre. Et il fera la même chose que pour le ballon ovale avec le …
On connaît le mot célèbre de Fouché, apprenant l’assassinat du duc d’Enghien : « C’est pire qu’un crime, c’est une faute… ». Que dire d’autre en voyant cette consternante « Une » de Libé : c’est pire que honteux, c’est carrément débile… On ne partage bien sur pas toujours – loin s’en faut.. – l’esprit qui préside aux articles de Libération. …
Lundi soir, pour son premier meeting de campagne du second tour, Nicolas Sarkozy était à Saint Cyr, près de Tours.
Nous ne retiendrons ici que quelques secondes de cette réunion, car elles donnent, peut-être, une indication sur ce qui va (ou peut) se passer lors du prochain duel télévisé, le 2 mai prochain. On pense ce qu’on veut de Sarkozy, et, pour ce qui est du vote, on votera ou pas pour lui, ou on s’abstiendra : nous avons suffisamment expliqué notre position là-dessus pour n’avoir pas à y revenir.
En cette période de crise généralisée où les principaux pays semblent avoir du mal à équilibrer leur système économique, deux d’entre eux, principalement, font figure de vainqueurs : l’Allemagne et le Qatar.
La chancelière allemande Angela Merkel et Hamad bin Khalifa Al Thani, émir du Qatar…
Henri sur Soutien au professeur Jean-Luc Coronel de…
“Je m’aligne sur David: Soutien total à Jean-Luc Coronel, sanction inique et confirmation aussi d’une ancienne…”