A leur arrivée ils repèrent un téléphone rouge et immédiatement demandent quelle en est l’utilité.
Le diable leur dit qu’il peut être utilisé pour appeler la terre dans des circonstances exceptionnelles.
Considérant tous les trois que les circonstances sont exceptionnelles car ils n’ont pas eu le temps de régler tous leurs problèmes il décident de demander s’ils peuvent s’en servir.
Poutine demande donc d’appeler la Russie, il parle pendant 5 minutes et le diable lui dit qu’il lui doit 1 million de Roubles. Poutine fait un chèque….
Pays & Terroirs est une maison d’édition et une librairie installée à Cholet depuis 1988. Notre spécialité est l’histoire régionale, en particulier les Guerres de Vendée. Vendee-chouannerie.com est un outil de communication que nous avons récemment mis en place pour informer de l’actualité, des nouvelles publications, des sujets d’histoire, etc. Nous avons également …
* Maxime TANDONNET, Haut fonctionnaire : Témoignage, 6 ans avec Sarko * Béatrice BOURGES, Porte-parole du Collectif pour l’enfant : Monsieur le ministre, … * Philippe BILGER, Conseiller spécial au cabinet D’Alverny, Demont et Associés : Le match * Chantal DELSOL, de l’Institut : La droite et la gauche * Ivan RIOUFOL, Journaliste : Pourquoi je voterai, malgré tout pour Sarkozy * Malika SOREL-SUTTER, Essayiste : Une époque de propagande * Denis TILLINAC, Ecrivain : Vous avez dit « neutres » ? * Christine SOURGINS, Historienne d’art : Un américain à Paris * Gérard-François DUMONT, Recteur d’académie, géographe : Un meurtre géographique : la France rurale * Dominique LE TOURNEAU, Docteur en droit canonique, Prêtre, écrivain : Homélie en la cathédrale de Reims
Premières lignes du Delsol, La Droite et la gauche… :
Il y a peu, c’était Jean-Claude Mailly qui se ridiculisait en déclarant, à propos de Marine Le Pen, que le national-socialisme n’était pas sa tasse de thé… Puis, ce fut Claude Guéant, qui affirma que le programme de la même Marine Le Pen était national et socialiste. Il fut alors pressé de le dire carrément …
Pour « quoi », et dans quel esprit, nous « faisons mémoire »… :
Charles Maurras : « …je mets quelque chose au-dessus d’elle (l’espérance) c’est la mémoire, la sainte et grande mémoire d’un beau passé, quand il est plein de gloire et fort de vertu, car c’est avec lui que l’on fabrique un avenir solide, et des races vivaces »
Jean de la Varende : « …le souvenir porte en soi une vitalité supérieure, et nous ramène à cette notion suprême : la chaîne, dont nous ne sommes qu’un maillon ».
« …Aucun régime n’a fabriqué plus d’icônes, de statues, de mausolées, d’interdits, d’excommunications et de procès de sorcellerie que celui qui fit de l’athéisme une religion d’Etat, et du Bon Dieu un diable… » Que se passe-t-il quand le sacré est éradiqué ? : « Nous ne transmettons plus. Nous descendons nos drapeaux à la cave… …
« …L’événement prévu depuis les débuts du règne, depuis le mariage avec Marie-Thérèse, approchait. Le roi d’Espagne Charles II, beau-frère de Louis XIV et de l’empereur Léopold, allait mourir sans enfant. Selon que Charles II laisserait sa succession à l’un ou à l’autre de ses neveux, le sort de l’Europe serait changé. Le danger, pour nous, c’était que l’héritage revînt aux Habsbourg de Vienne, ce qui eût reconstitué l’empire de Charles Quint. D’autre part Charles II ne se décidait pas. D’innombrables intrigues se croisaient autour de son testament. Louis XIV pensait aussi, et avec raison, que si un Bourbon était désigné, ce ne serait pas sans peine et peut-être sans guerre qu’il recueillerait le magnifique héritage : Espagne, Flandre belge, une grande partie de l’Italie, le Mexique et presque toute l’Amérique du Sud. Pour un homme aussi sensé, c’était trop beau. Il savait maintenant que, dans tous ses projets, il devait compter avec les puissances maritimes. En outre, il était clair que l’Angleterre convoitait les colonies de l’Espagne. Louis XIV préféra donc négocier un traité de partage de la succession espagnole et, pendant près de trois ans, la carte de l’Europe fut maniée et remaniée de façon à donner satisfaction à tous les compétiteurs, Habsbourg et Bourbon, Bavière et Savoie. Les plans de Louis XIV étaient toujours dirigés par le principe des frontières et c’était en Lorraine, dans les Alpes, à Nice, qu’il cherchait des compensations à ses abandons de l’héritage espagnol. La mauvaise foi de Guillaume d’Orange (ci-dessus), au cours de ces pourparlers, est certaine, car seule l’Angleterre, dans ces projets, ne recevait rien.
Nous sommes comme tout le monde : nous aimerions vivre dans un monde sans violence ni pauvreté, sans Cancer ni Sida, sans guerres ni pollution; un monde où l’on ne ferait qu’écouter chanter les gentils oiseaux dans les jolis arbres de belles villes toutes propres, sans insécurité ni braquage ni sirènes de police… Bien sûr que tout un chacun préfèrerait une terre où tout le monde il serait beau, tout le monde il serait gentil…
Mais, ça, c’est dans le monde de Martine, chez Walt Disney (et encore, même là, il y a de gros méchants…) ou dans les Contes de fées. Notre monde est différent, il est violent, et il l’est de plus en plus. Et les forces de l’ordre sont de plus en plus confrontés à des délinquants d’un nouveau style, ultra-violents et – pour un très grand nombre d’entre eux – ne rêvant que de « crever du flic ».
Fain sur Vincent Hervouet sur la crise algérienne…
“Je ne peux partager avec mon titre « Les terroristes FLN s’essayent au terrorisme intellectuel de Saint…”