Christophe Mory signe un très bon papier (1) sur le dernier livre de Michel Crépu, Le souvenir du monde – Essai sur Chateaubriand. Dans lequel on trouve, entre autres, ce jugement, bien vu et bien dit : « L’Être suprême n’a fait rêver personne parce qu’il n’était personne… »
Christophe Mory nous prévient d’emblée que « dans son nouveau livre, l’essayiste et écrivain Michel Crépu fait descendre Chateaubriand de son piédestal politique et littéraire. Mais, en revanche, il le crédite de la restauration du christianisme en France après la Révolution ».
Bon : mais on laissera et Michel Crépu et Christophe Mory à leurs jugements ou contre-jugements sur Chateaubriand, l’intérêt de l’article étant ailleurs, du point de vue où nous nous plaçons, à savoir la dénonciation de la Révolution comme instauratrice des Totalitarismes modernes. Et, en cela, ce sont les propos, non pas de Michel Crépu dans son ouvrage, mais de Christophe Mory dans sa critique qui nous ont parus importants.
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