Par une délibération unanime du mardi 8 avril, le Conseil municipal de notre Capitale à tous a donc décidé de donner prochainement à l’une des artères de la cité le nom de Mohamed Bouazizi. Le maire -né lui-même en Tunisie – justifie cela en expliquant qu’il est bon que le peuple tunisien sente la présence à ses côtés du peuple français, et que le-dit Mohamed est un martyr etc… etc….
C’est peu de dire que, dicté par des impératifs probablement idéologiques, pour une bonne part, et certainement émotionnels, ce choix est typique – et révélateur… – de l’air du temps, dans tout ce qu’il a de plus détestable. Tout le monde s’occupe des affaires de tout le monde, n’importe qui se croit autorisé à émettre des jugements sur n’importe quoi, et chacun a son idée bien arrêtée sur tout, jugement péremptoire et définitif a la clef !…
Pour lui, c’est pour bientôt…
Richard sur Pierre-Yves Rougeyron : « Le vrai problème est…
“On ne voit pas la ligne directrice de ce discours. Étonnant car Pierre -Yves Rougeyron semble…”