On se souvient que la principale justification soufflée par Stoleru à Chirac était que, si les immigrés faisaient venir leur famille ici, ils n’enverraient plus leur argent « là-bas », et que donc cet argent resterait en France. Et que par ailleurs des patrons demandaient à gagner plus avec une main d’oeuvre bon marché, qui revenait moins cher que de moderniser et d’investir !…
C’est au nom de ce calcul sordide et mesquin -en tout cas purement matérialiste- que fut decidée cette folle politique d’ouverture massive des portes à ce qui se révèle bien être, aujourd’hui, une substitution de peuplement (voir les propos des démographes Michèle Tribalat, Gérard-François Dumont etc…)..
Lire la suiteEn réponse à une lectrice, sur l’immigration….(2/2).
corcelles sur Quand, il y a 155 ans,…
“Je comprends mal la fureur de Barbey car si Flaubert – qui se prenait pour Mme…”