On ne tombera pas, ici, dans le travers qui consisterait à rejeter, en bloc, la totalité des Lumières, ni même -au risque d’en surprendre quelques uns…- de la Révolution. Nous ne sommes pas des idéologues, répondant à une idéologie par une autre idéologie, inversée. Bien sûr, nous rejetons la plus grande partie des Lumières et de la Révolution, telles qu’elles se sont inscrites dans notre Histoire, parce que -et pour toujours, maintenant…- elles ont voulu s’inscrire en rupture avec nos Racines et notre Héritage, notre Histoire. Elle se sont pensées en dehors de ces Racines profondes, sans elles et même contre elles. Et, dans leur fanatisme, elles ont généré les Totalitarismes et les Génocides modernes (1), toutes choses que, bien évidemment, l’on ne peut accepter.
Il y a pourtant -dans les Lumières et même dans le Révolution…- certains éléments qui ont pu, par exemple, faire dire à Benoît XVI que la tâche de l’Église serait, in fine, de sauver ce qu’il y a de bon dans les Lumières: nous y reviendrons….puisque, de toutes façons, ce n’est pas l’objet initial de cette note.
Lire la suiteLa lourde faute des tenants bornés des Lumières…
corcelles sur Quand, il y a 155 ans,…
“Je comprends mal la fureur de Barbey car si Flaubert – qui se prenait pour Mme…”