Le procédé est courant, et bien connu: dans toutes les dictatures et tyrannies -et l’Algérie en est une…- dès qu’il y a trop de problèmes à l’intérieur, créés par la corruption, la gabegie, l’incompétence… des dirigeants, on distraie l’opinion publique en agitant des chiffons rouges. La ficelle est très, très grosse, mais, bon… C’est ce qui se passe avec Bouteflika, qui nous refait donc, pour la énième fois, le coup de la demande d’excuses pour la colonisation….
Mérite-t-il la palme de l’ignorance ou celle de la mauvaise foi ? Et pourquoi pas les deux ? Lui qui n’est pas gêné de venir se faire soigner chez nous, mais qui ne ne recule devant aucune outrance verbale, devant aucune contre-vérité historique pour nourrir son propos haineux, et -au sens propre du terme- ab-errant (du latin « ab », loin de, et « errare », divaguer: se dit de celui ou celle, ou du propos, qui divague loin de la raison, du bon sens…).
François-Xavier Castet du Poët sur Vendredi soir sur un rond-point, le…
“Bravo !! Actions à renouveler et à faire savoir !!”