On est pris entre deux feux. C’est vrai: une société saine et qui se porte bien, comme le disait Gustave Thibon, est une société avec un minimum de lois et un maximum de moeurs; nous sommes les premiers à le dire, et à critiquer par exemple Chirac, qui faisait une loi dès qu’il y avait un problème….
Mais avec l’Islam, on est aux prises avec un adversaire totalitaire et plein d’arrières-pensées. Et dont les adeptes n’ont -du fait de ce totalitarisme qu’ils professent et véhiculent, volens nolens– rien à voir avec ces « polacks et macaronis » dont parle avec tendresse le philosophe, et pour lesquels intégration puis assimilation se sont, finalement, bien passées, malgré d’indéniables difficultés pratiques et concrètes, qu’il serait vain de nier aujourd’hui.
Lire la suiteSur la burqa, Glucksmann réaliste: il faut répondre aux provocations.
Michel MICHEL sur Recension ♦ Le long voyage de Venise…
“Oui, même les contrerévolutionnaires, nous sommes tous des « modernes »; la façon dont nous pensons est engluée…”