Là-bas, en Suisse, ils ont une vraie République. Et, avec leurs votations, qui permettent aux citoyens de conserver le pouvoir même après avoir désigné leurs mandants, ils peuvent, justement, désavouer ces mandants, même après les avoir envoyés siéger : ils ont donc aussi une vraie démocratie.
Ce n’est pas comme en France, où l’on n’a que les mots de république et de démocratie, mais pas la réalité de la chose. Pire : on a une république et une démocratie idéologiques.
Tel est le message qui commence à passer dans l’opinion, du moins si l’on en juge par ce que l’on pouvait lire dans Le Figaro du 30 juillet :
Grégoire Legrand sur Résister à l’extrême-droite ? Réponse d’Ego…
“Je vous donne raison sur la distinction entre fédération et confédération ainsi que sur le louable…”