Dans la longue cohorte des intellos de gauche et d’extrême-gauche qui sont venus clamer leur haine de la démocratie, Cohn Bendit ne pouvait manquer de figurer.
C’est fait: il est venu parler de la votation suisse, et a fait une déclaration dans laquelle il est apparu hargneux, inutilement blessant et méprisant, et donneur de leçon(s); plein d’un dédain inadmissible pour les Suisses, et d’une suffisance et d’un contentement de soi littéralement ahurissants: bref, « moi, je » comme jamais, sans crainte de l’excès et, donc, du ridicule.
Lire la suiteDu peuple souverain au souverain mépris du peuple…..
corcelles sur Quand, il y a 155 ans,…
“Je comprends mal la fureur de Barbey car si Flaubert – qui se prenait pour Mme…”