Le 5 novembre, Le Figaro posait en effet cette question/sondage à ses lecteurs.
Comme nous répondons deux fois Non à cette question, il nous a paru utile d’expliquer pourquoi.
On serait, du reste, tenté de dire d’accords, une fois de plus, avec Eric Zemmour. Voici son petit billet du Figaro Magazine du 31 octobre: petit, par la taille, mais pertinent, ô combien….
http://www.rtl.fr/fiche/5929560474/les-grosses-tetes-du-04-11-09.html
« La monarchie est utile parce qu’elle permet de faire primer le bien commun sur les intérêts particuliers, et de s’inscrire dans le long terme, alors qu’aujourd’hui on n’est intéressé que par le court terme, ce qui empêche d’anticiper et de relever les grands défis de notre temps. Elle permet aussi de sortir du système …
Lire la suiteLe mot qui compte : Jean de France : « Je suis là….. »
Le 5 novembre, Le Figaro posait en effet cette question/sondage à ses lecteurs.
Comme nous répondons deux fois Non à cette question, il nous a paru utile d’expliquer pourquoi.
La page 26 du quotidien est la page Régions. Elle est donc commune à tous les départements qui constituent le lectorat de la Provence: Vaucluse, Bouches-du-Rhône, Var, Alpes de Haute Provence, Hautes Alpes… Chaque jour, au milieu d’une vingtaine d’informations très diverses (culturelles, économiques, sportives…), on y donne la parole à une personnalité, pour …
Lire la suiteCe samedi 14, dans La Provence, « la pensée du jour » est du Prince Jean…..
On ne compte plus les talents privés d’honneur et de reconnaissance officielle -que ce soit l’Académie française ou les prix littéraires- alors qu’à l’inverse, de nombreux fantômes ont été reconnus, soit par leur élection à l’Académie soit par tel ou tel prix, avant de (re)devenir ce qu’ils ou elles sont, pour l’éternité : d’illustres inconnu(e)s.
Aujourd’hui, les radios et les journaux (du moins certaines et certains) bruissent des déclarations venimeuses d’une certaine Marie Ndiaye, qui trouve « monstrueuse » la France de Sarkozy et qui a donc préféré partir vivre à Berlin (1).
Lire la suiteMême affublée d’un Goncourt, un(e) insignifiant(e) reste un(e) insignifiant(e)…
Il faut être reconnaissants à Jean-François MATTEI, avons-nous dit, d’avoir écrit « Le regard vide – Essai sur l’épuisement de la culture européenne ». Et, en effet, il faut lire et relire ce livre, le méditer, en faire un objet de réflexion et de discussions entre nous. Il dit, un grand nombre de choses tout à fait essentielles sur la crise qui affecte notre civilisation – et, bien-sûr, pas seulement la France – dans ce qu’elle a de plus profond.
Ce livre nous paraît tout à fait essentiel, car il serait illusoire et vain de tenter une quelconque restauration du Politique, en France, si la Civilisation qui est la nôtre était condamnée à s’éteindre et si ce que Jean-François MATTEI a justement nommé la barbarie du monde moderne devait l’emporter pour longtemps.
Le regard vide – Essai sur l’épuisement de la culture européenne, de Jean-François Mattéi. Flammarion, 302 pages, 19 euros.
Lire la suiteGRANDS TEXTES XVI : Le regard vide, de Jean-François Mattéi (3/3)
Des incidents ont eu lieu à Marseille à l’issue de la rencontre qualificative pour le Mondial-2010 entre l’Egypte et l’Algérie.
Photo Patrick Nosetto – La Provence
Les Algériens à Marseille ? Avec les autre maghrébins, largement le quart de la population, mais TRES LARGEMENT MOINS que le quart des contribuables, et TRES LARGEMENT PLUS que le quart des voyous, violents, casseurs, destructeurs etc… qu’il convient d’expulser sans délai. Ce que ferait n’importe quel gouvernement digne de ce nom, mais que ne fera bien sûr pas notre Système idéologique, puisque c’est lui qui les a fait venir.
Alors, qui le fera ?
Dans le contexte actuel, nous avons autre chose à faire que de nous occuper de la délinquance de voyous malfaisants; nous avons autre chose à faire que de supporter ce voisinage non désiré; nous avons autre chose à faire que d’arranger sans cesse -par des impôts de plus en plus lourds- des centre-ville que ces voyous malfaisants dégradent tout aussi régulièrement que nous payons leurs équipements et leurs ré-équipements.
Voitures, bateaux, restaurant incendiés: c’est encore une nuit d’émeutes qui s’est produite dans la seconde ville de France. Il faudra bien, un, jour, un recours au pays, pour résoudre radicalement ce problème…..
C’est sûr: nous l’avons déjà dit. C’est comme dans le Dom Juan de Molière: « Je te dis toujours la même chose, parce que c’est toujours la même chose; et si ce n’était pas toujours la même chose, je ne dirais pas toujours la même chose…. »
Mais il faut le redire, et il faudra malheureusement -sans doute- le redire encore, jusqu’à ce que cette délinquance de masse, qui empoisonne notre quotidien, soit enfin résolue par des pouvoirs publics dignes de ce nom. Le premier devoir d’un Etat est d’assurer la sécurité des biens et des personnes. Force est de constater, malgré le fait que l’on occulte délibérément la gravité de la situation, que le Système est défaillant (doux euphémisme) de ce point de vue. Et qu’il perd, jour après, toute légitimité….
Voici le compte-rendu des faits par La Provence du dimanche 15 (page 4, complète s’il vous plaît…):
ali_et_mohamed.pps
La Cour européenne des droits de l’homme a estimé, le mardi 3 novembre, que la présence de crucifix dans les salles de classe en Italie est « une atteinte à la liberté de conscience ». On notera juste que, dans le même temps, de nombreuses entités, et parfois la Cour des droits de l’homme elle-même, ne cessent de reconnaître à de nouveaux venus en Europe le droit à des signes distinctifs.
La ficelle n’est-elle pas un peu grosse ? D’un côté, toujours le même, on prétend effacer toutes traces de ce qui est chrétien, pour ne pas effaroucher « les autres », « les nouveaux », qui ont le droit -eux- de ne pas être agréssés par les symboles religieux d’un continent chrétien, héritier d’une histoire bi-millénaire chrétienne. Mais d’un autre côté -et là aussi, toujours le même- on ne cesse de reconnaître à ces « nouveaux venus » et « différents » leur droit à vivre et afficher leurs différences: que ce soit dans la rue (burqas) ou dans l’intimité (excision, charia). Et sans se poser la question de savoir si cela nous agresse, nous.
Pierre Builly sur Quand, il y a 155 ans,…
“J’ai lu quatre fois « L’Éducation sentimentale » sans jamais en retenir quoi que ce soit ; c’est…”