Il nous semble également, pour alimenter le débat, que l’on peut jeter, en vrac, les réflexions et interrogations suivantes, après quoi il n’y aura plus qu’à attendre les réactions de qui voudra réagir…..
Il nous semble également, pour alimenter le débat, que l’on peut jeter, en vrac, les réflexions et interrogations suivantes, après quoi il n’y aura plus qu’à attendre les réactions de qui voudra réagir…..
C’est ce que pense Charles-Henri d’Andigné, présentant Un Prince français dans Valeurs Actuelles (octobre 2009, sous le titre Jean de France, un Prince se révèle):
Voici maintenant nos commentaires. D.C. parle d’or quand il parle de res publica. Comment ne pas être d’accord avec lui ?
Ce n’est en effet, et bien sûr pas, « la » République, en tant que technique ou forme de gouvernement qui nous gêne et que nous critiquons. C’est « cette »république, qui a une histoire, à laquelle elle ne peut ni ne veut -semble-t-il…- échapper, et qui est fondamentalement anti-chrétienne, anti-historique, dans la mesure où elle rejette nos racines et se construit sans elles, en dehors d’elles et contre elles (« du passé faisons table rase… »).
Elle qui fonctionne un peu -prenons une image- comme un diffuseur d’ambiance: elle diffuse un esprit, une mentalité, mais cet esprit et cette mentalité vont directement contre nos Racines historiques profondes; elles nient et combattent ces Racines historiques et chrétiennes….
Bulletinréponse.pdf La soirée est placée sous la présidence effective du Professeur Christian Atias
Journaliste à Libération, auteur du blog Secret défense qui fait autorité en la matière, Jean-Dominique MERCHET sera l’invité des mercredi de la NAR, ce mercredi 11 novembre. Il s’était récemment déclaré partisan du retrait des troupes françaises d’Afghanistan: il revient avec un nouvel essai sur un thème qui fait consensus dans le milieu dirigeant …
C’est ce que pense Charles-Henri d’Andigné, présentant Un Prince français dans Valeurs Actuelles (octobre 2009, sous le titre Jean de France, un Prince se révèle):
L’avantage avec les commentaires que postent nos lecteurs ou -comme ici- les messages ou les questions qu’ils nous envoient directement à maisaquilafaute ? c’est, tout simplement, mais c’est essentiel, qu’ils font réfléchir, et qu’ils obligent à préciser toujours plus et toujours mieux tel ou tel point délicat. Ils permettent ainsi, dans un échange fécond, de progresser dans l’approfondissement et -ce sera probablement le cas cette fois- dans la formulation de nos idées.
D.C. nous a ainsi envoyé plusieurs courriers, auxquels nous en avons en partie répondu, mais en privé, en interne, en quelque sorte. Pourtant, à la réflexion (son premier courrier date de mai !), et comme le problème qu’il soulève est important, il nous a semblé utile de porter à la connaissance de tous le débat qui s’est engagé, afin que d’autres puisent apporter leur contribution.
Le point de départ semble simple, mais il emmène tout de suite très loin, beaucoup plus loin… D.C. pense que nous devrions modifier notre formulation et ne pas/ne plus attaquer « la » République. S’agirait-il seulement de sémantique, et de changer simplement un mot ? Bainville aimait à rappeler que c’est par les mots qu’on désigne les Idées, et que c’est sur les Idées qu’on s’entend. Autant dire qu’en attirant l’attention sur un mot, D.C. va -et c’est tant mieux, nous obliger à remuer, pour les préciser, plusieurs Idées.
Allons-y…
Monsieur Gérard Grosgogeat Maire de Villefranche-sur-Mer Vice-Président de Nice-Cote d’Azur et le Conseil Municipal vous prient de bien vouloir honorer de votre présence la conférence que prononcera S.A.R le Prince Jean de France à l’occasion de la publication de son livre Un Prince Français aux éditions Pygmalion Le Jeudi 12 novembre 2009 à 18h30 dans …
Lire la suiteLe tour de France du Prince Jean: étape à Villefranche, le 12 novembre.
C’est ce que pense Charles-Henri d’Andigné, présentant Un Prince français dans Valeurs Actuelles (octobre 2009, extrait):
Il faut être reconnaissants à Jean-François MATTEI, avons-nous dit, d’avoir écrit « Le regard vide – Essai sur l’épuisement de la culture européenne ». Et, en effet, il faut lire et relire ce livre, le méditer, en faire un objet de réflexion et de discussions entre nous. Il dit, un grand nombre de choses tout à fait essentielles sur la crise qui affecte notre civilisation – et, bien-sûr, pas seulement la France – dans ce qu’elle a de plus profond.
Ce livre nous paraît tout à fait essentiel, car il serait illusoire et vain de tenter une quelconque restauration du Politique, en France, si la Civilisation qui est la nôtre était condamnée à s’éteindre et si ce que Jean-François MATTEI a justement nommé la barbarie du monde moderne devait l’emporter pour longtemps.
Le regard vide – Essai sur l’épuisement de la culture européenne, de Jean-François Mattéi. Flammarion, 302 pages, 19 euros.
Lire la suiteGRANDS TEXTES XV : Le regard vide, de Jean-François Mattéi (2/3)
corcelles sur Quand, il y a 155 ans,…
“Je comprends mal la fureur de Barbey car si Flaubert – qui se prenait pour Mme…”