Certes, on trouve ce document dans notre Catégorie « Grands Textes ». C’est même le premier d’entre eux, celui avec lequel nous avons inauguré cette série. Il s’insère cependant à ce point dans notre réflexion engagée à partir de l’encart du Figaro que nous avons pensé utile de le présenter de nouveau, plutôt que de nous contenter d’indiquer au(x) lecteurs(s) qu’on pouvait le lire dans cette Catégorie.
En lui redonnant, en quelque sorte, les honneurs de la Une, il nous semble que nous rendons plus cohérent cet ensemble de trois notes, centrées sur un essentiel qui ne passe pas, parce qu’il ne peut pas passer, et qu’il convient de correctement nommer, de correctement dater, car de là vient notre déclin.
Sur la réalité des révolutions, sur les horreurs qu’elles engendrent, la pensée de Soljénitsyne se « dédouble » dans une vision grandiose et universelle des maux que le monde a connus de leur fait, aux XIX° et XX° siècles. Il appelle de ses voeux le temps où seront érigés, en Russie, des monuments pour témoigner de cette barbarie et souhaite que les Français en fassent autant, non seulement comme objet de mémoire, mais aussi, mais surtout, comme condition d’une renaissance.
Soljénitsyne ouvre à notre réflexion de multiples « pistes » avec, à l’instar du pape Jean-Paul II, la force et l’autorité d’un témoin, d’une victime, en définitive victorieuse….
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“J’ai lu quatre fois « L’Éducation sentimentale » sans jamais en retenir quoi que ce soit ; c’est…”