On le sait bien, depuis le début nous nous inscrivons pleinement dans l’insurrection de tous ceux qui veulent maintenir le dimanche hors de l’emprise du matérialisme et du mercantilisme ambiant. Il s’agit pour nous d’un combat portant sur l’essentiel : on ne défend bien sûr pas un jour de repos banal, on se bat (pardon d’être un peu pompeux…) pour un élément essentiel de civilisation; on défend l’une des choses qui font que l’homme se souvient -et à la possibilité matérielle de le faire…- qu’il est et de très loin autre chose qu’un simple rouage de l’économie; qu’il n’est pas simplement utile pour faire tourner la machine, en quelque sorte….
Pour nous, donc, le dimanche c’est sacré. Et nous avons salué en son temps la déclaration de Benoît XVI Sans le dimanche, nous en pouvons pas vivre.
Mais justement, les mots ont un sens. Dire que le dimanche c’est sacré, ce n’est pas répéter une formule vide de sens , qu’on pourrait comparer à une coquille vide. C’est vivre vraiment ce jour différemment et, ce faisant, lui donner véritablement son sens plein et entier, son sens profond et essentiel. Sinon à quoi bon le défendre, et au nom de quoi ?
Tel est le sens de la très juste réflexion de l’abbé Guillaume de Tanouärn, que nous approuvons pleinement et qu’il nous a paru utile de porter à la connaissance de celles et ceux qui n’en n’auraient pas eu connaissance…..
Lire la suiteMais comment faire la fête ? par l’abbé Guillaume de Tanoüarn.
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