Quelle meilleure façon, en effet, de répondre à ceux qui seraient tentés de reprendre une certaine vérité officielle, un certain conformisme en tout cas, à propos de Napoléon, que de laisser la parole à Chateaubriand, à travers sa brochure « De Buonaparte et des Bourbons », publiée le 31 mars 1815:
« L’avenir doutera si cet homme a été plus coupable par le mal qu’il a fait que par le bien qu’il eût pu faire et qu’il n’a pas fait….Il a plus corrompu les hommes, plus fait de mal au genre humain dans le court espace de dix années que tous les tyrans de Rome ensemble, depuis Néron jusqu’au dernier persécuteur des chrétiens….Né surtout pour détruire, Bonaparte porte le mal dans son sein…. »
Pierre Builly sur Quand, il y a 155 ans,…
“J’ai lu quatre fois « L’Éducation sentimentale » sans jamais en retenir quoi que ce soit ; c’est…”