Dans les lycées en particulier, comme sur la place publique, l’évocation de Guy Môquet s’annonce plus discrète cette année. Prélude à un effacement total, et à une disparition de fait dans les prochaines années, et c’est tant mieux…
On n’a jamais trop bien vu ni trop bien compris l’intérêt de ce produit, lancé tout d’un coup depuis les hautes sphères politiques, qui ont tenté de l’imposer par le haut à tout un pays, fort surpris de la chose; un peu comme, dans un autre domaine, cette fête d’Halloween que l’on a tenté de plaquer sur notre sol, et dont la greffe finalement – et c’est heureux là aussi… – n’a pas pris non plus…
Pierre Builly sur Quand, il y a 155 ans,…
“J’ai lu quatre fois « L’Éducation sentimentale » sans jamais en retenir quoi que ce soit ; c’est…”