Marion Nazet est historienne. Son genre : les us et coutumes des gens du peuple. Elle a publié un ouvrage intitulé Noël provençal, traditions et saveurs : Nouvé prouvencau, tradicioun e sabour » (1) dans lequel elle détaille par le menu (sans mauvais jeu de mot…) les mille et un charmes de cette fête en Provence, province dans laquelle c’est le moment phare de l’année.
Retraite à 70 ans, travail dominical : Schyzophrénie d’Etat ?…..
Le Pays Légal a-t-il découvert un nouveau jeu, qui consiste à prendre les français pour des imbéciles ? N’est-ce pas un peu l’impression qu’il donne, en effet, si l’on s’en tient – et pour ne prendre que ces deux exemples…- à deux dossiers actuels: la retraite à 70 ans et l’ouverture des magasins le dimanche ?…..
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Notre amie la crise…
On a pu lire récemment avec plaisir un petit commentaire fort intéressant de Philippe Séguin.
« La crise peut s’avérer bénéfique sur le long terme », a estimé le président de la Cour des Comptes dans un entretien au Parisien Dimanche et Aujourd’hui en France Dimanche.
Réunir Védrine et Manent, et les faire s’exprimer sur l’Europe: la bonne idée de Marianne……
Dans son numéro 608, à la rubrique Forum, Marianne pose la question suivante à Hubert Védrine et à Pierre Manent (directeur du centre Raymond Aron) : Une nation européenne est-elle possible?
Voici leur(s) réponse(s) ; vu la qualité et l’intérêt de l’article, nous le reproduisons dans son intégralité, sans en changer ni en supprimer un seul mot…..
De Gaulle chez Franco…..
Dans Le Figaro Magazine du 13 décembre, Jean Sévillia revient sur l’époque franquiste, le récent ouvrage de Michel del Castillo, Le temps de Franco, ayant suscité un assez large débat, aauquel s’était déjà joint le magazine.
On lit avec un réel plaisir de nombreuses réflexions de bon sens tout au long de cet article, comme celle-ci :
Un policier parle des bobos et des magistrats (du moins de certains…)
Bruno Beschizza est Secrétaire Général du Syndicat Synergie Officiers. Il n’a pas sa langue dans sa poche, et c’est tant mieux…
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Mais comment faire la fête ? par l’abbé Guillaume de Tanoüarn.
On le sait bien, depuis le début nous nous inscrivons pleinement dans l’insurrection de tous ceux qui veulent maintenir le dimanche hors de l’emprise du matérialisme et du mercantilisme ambiant. Il s’agit pour nous d’un combat portant sur l’essentiel : on ne défend bien sûr pas un jour de repos banal, on se bat (pardon d’être un peu pompeux…) pour un élément essentiel de civilisation; on défend l’une des choses qui font que l’homme se souvient -et à la possibilité matérielle de le faire…- qu’il est et de très loin autre chose qu’un simple rouage de l’économie; qu’il n’est pas simplement utile pour faire tourner la machine, en quelque sorte….
Pour nous, donc, le dimanche c’est sacré. Et nous avons salué en son temps la déclaration de Benoît XVI Sans le dimanche, nous en pouvons pas vivre.
Mais justement, les mots ont un sens. Dire que le dimanche c’est sacré, ce n’est pas répéter une formule vide de sens , qu’on pourrait comparer à une coquille vide. C’est vivre vraiment ce jour différemment et, ce faisant, lui donner véritablement son sens plein et entier, son sens profond et essentiel. Sinon à quoi bon le défendre, et au nom de quoi ?
Tel est le sens de la très juste réflexion de l’abbé Guillaume de Tanouärn, que nous approuvons pleinement et qu’il nous a paru utile de porter à la connaissance de celles et ceux qui n’en n’auraient pas eu connaissance…..
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Un réfractaire, Barbey d’Aurevilly, de François Taillandier.
Jean-Marc Parisis a consacré une intelligente chronique à l’Essai de François Taillandier sur Barbey d’Aurevilly (1). « Une botte ferrée dans l’Ancien Régime, l’autre piétinant la démocratie, où l’homme « mourra de son Moi dilaté », ce libertin de Dieu avait vu juste : « l’idéal économique des bourgeois est d’augmenter indéfiniment le nombre des consommateurs sur la …
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Le jeune Staline…
Dans le Politique Magazine de décembre (n° 69), Yvan Blot a consacré à l’ouvrage de Simon Sebag Montefiore Le jeune Staline (1), la note de lecture que nous reproduisons ci-dessous.
Comme nous le disait Jean-François Mattéi lors de son intervention à la soirée du 21 janvier 2008 (2) la révolution française a bien perturbé, non seulement la France bien sûr, mais aussi toute l’Europe et même le monde, ne s’arrêtant pas à la Russie mais allant nourrir aussi, jusqu’en extrême-orient, un Mao, un Ho Chi Minh, un Pol Pot.
« La révolution française a vraiment nourri la sensibilité des communistes bolchéviques….. le mouvement bolchévique ne tire pas du tout ses racines intellectuelles de la Russie mais bien de l’Occident et singulièrment de la révolution française. »
Après notre note sur Austerlitz, en particulier, et sur Napoléon, en général : et si on lisait le témoignage de Chateaubriand ?…
Quelle meilleure façon, en effet, de répondre à ceux qui seraient tentés de reprendre une certaine vérité officielle, un certain conformisme en tout cas, à propos de Napoléon, que de laisser la parole à Chateaubriand, à travers sa brochure « De Buonaparte et des Bourbons », publiée le 31 mars 1815:
« L’avenir doutera si cet homme a été plus coupable par le mal qu’il a fait que par le bien qu’il eût pu faire et qu’il n’a pas fait….Il a plus corrompu les hommes, plus fait de mal au genre humain dans le court espace de dix années que tous les tyrans de Rome ensemble, depuis Néron jusqu’au dernier persécuteur des chrétiens….Né surtout pour détruire, Bonaparte porte le mal dans son sein…. »
Henri sur L’intéressante « trouvaille » de Michel MICHEL
“L’anti-germanisme pour son monde et sa culture est une erreur et un aveu de faiblesse, que…”