Les tensions montent un peu partout, en Europe, entre travailleurs autochtones et immigrés (fussent-ils naturalisés récents…). La cause principale est facile à comprendre : le travail se raréfie. Nul ne peut se hasarder à conjecturer la durée de la crise, mais pour l’instant ele est là, et bien là.
On le sait, gouverner c’est prévoir. Que va-t-on faire, si la crise dure – et il y a fort à parier qu’elle va, malheureusement, durer…- avec toutes ces populations qu’on a fait venir en masse en Europe en général, et en France en particulier ?
Des gouvernants un peu trop imbus de leur savoir faire, un peu trop confiants dans l’avenir et un peu trop surs d’eux-mêmes, n’ont-ils pas installé là une formidable bombe à retardement ?
Le directeur général du Bureau international du travail
(BIT), Juan Somavia, le 13 juin 2007 à Genève.
Lire la suiteChômage: une onde de choc rapide et mondiale.
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