Bruno Beschizza est Secrétaire Général du Syndicat Synergie Officiers. Il n’a pas sa langue dans sa poche, et c’est tant mieux…
Lire la suiteUn policier parle des bobos et des magistrats (du moins de certains…)
Bruno Beschizza est Secrétaire Général du Syndicat Synergie Officiers. Il n’a pas sa langue dans sa poche, et c’est tant mieux…
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On le sait bien, depuis le début nous nous inscrivons pleinement dans l’insurrection de tous ceux qui veulent maintenir le dimanche hors de l’emprise du matérialisme et du mercantilisme ambiant. Il s’agit pour nous d’un combat portant sur l’essentiel : on ne défend bien sûr pas un jour de repos banal, on se bat (pardon d’être un peu pompeux…) pour un élément essentiel de civilisation; on défend l’une des choses qui font que l’homme se souvient -et à la possibilité matérielle de le faire…- qu’il est et de très loin autre chose qu’un simple rouage de l’économie; qu’il n’est pas simplement utile pour faire tourner la machine, en quelque sorte….
Pour nous, donc, le dimanche c’est sacré. Et nous avons salué en son temps la déclaration de Benoît XVI Sans le dimanche, nous en pouvons pas vivre.
Mais justement, les mots ont un sens. Dire que le dimanche c’est sacré, ce n’est pas répéter une formule vide de sens , qu’on pourrait comparer à une coquille vide. C’est vivre vraiment ce jour différemment et, ce faisant, lui donner véritablement son sens plein et entier, son sens profond et essentiel. Sinon à quoi bon le défendre, et au nom de quoi ?
Tel est le sens de la très juste réflexion de l’abbé Guillaume de Tanouärn, que nous approuvons pleinement et qu’il nous a paru utile de porter à la connaissance de celles et ceux qui n’en n’auraient pas eu connaissance…..
Lire la suiteMais comment faire la fête ? par l’abbé Guillaume de Tanoüarn.
Jean-Marc Parisis a consacré une intelligente chronique à l’Essai de François Taillandier sur Barbey d’Aurevilly (1). « Une botte ferrée dans l’Ancien Régime, l’autre piétinant la démocratie, où l’homme « mourra de son Moi dilaté », ce libertin de Dieu avait vu juste : « l’idéal économique des bourgeois est d’augmenter indéfiniment le nombre des consommateurs sur la …
Lire la suiteUn réfractaire, Barbey d’Aurevilly, de François Taillandier.
Dans le Politique Magazine de décembre (n° 69), Yvan Blot a consacré à l’ouvrage de Simon Sebag Montefiore Le jeune Staline (1), la note de lecture que nous reproduisons ci-dessous.
Comme nous le disait Jean-François Mattéi lors de son intervention à la soirée du 21 janvier 2008 (2) la révolution française a bien perturbé, non seulement la France bien sûr, mais aussi toute l’Europe et même le monde, ne s’arrêtant pas à la Russie mais allant nourrir aussi, jusqu’en extrême-orient, un Mao, un Ho Chi Minh, un Pol Pot.
« La révolution française a vraiment nourri la sensibilité des communistes bolchéviques….. le mouvement bolchévique ne tire pas du tout ses racines intellectuelles de la Russie mais bien de l’Occident et singulièrment de la révolution française. »
Quelle meilleure façon, en effet, de répondre à ceux qui seraient tentés de reprendre une certaine vérité officielle, un certain conformisme en tout cas, à propos de Napoléon, que de laisser la parole à Chateaubriand, à travers sa brochure « De Buonaparte et des Bourbons », publiée le 31 mars 1815:
« L’avenir doutera si cet homme a été plus coupable par le mal qu’il a fait que par le bien qu’il eût pu faire et qu’il n’a pas fait….Il a plus corrompu les hommes, plus fait de mal au genre humain dans le court espace de dix années que tous les tyrans de Rome ensemble, depuis Néron jusqu’au dernier persécuteur des chrétiens….Né surtout pour détruire, Bonaparte porte le mal dans son sein…. »
Michel del Castillo vient de publier Le temps de Franco (1), « biographie éblouissante » du Caudillo, nous dit Jérôme Béglé, qui lui consacre un très intéressant article dans Paris Match du 13 novembre, sous le titre assez choc Franco, nouveau héros.
Il faut dire que le fond de l’ouvrage est assez en décalage par rapport à la vérité officielle -qui n’est qu’un grossier mensonge- pour qu’on s’y arrête et qu’on salue le courage de son auteur. Exilé pendant le règne du Caudillo, on aurait pu penser que dans son nouvel ouvrage il se serait laissé aller sinon à régler des comptes, du moins à se couler dans le moule du si douillet conformisme qui prévaut aujourd’hui.
Eh bien, pas du tout : toutes proportions gardées, son ouvrage est une petite bombe, bienvenue. Un livre historiquement incorrect, c’est-à-dire donc très correct ! Par exemple, il « tord le cou aux clichés qui en font l’égal de Hitler et de Mussolini ».
Voici la présentation qu’en fait Jérome Béglé…..
Lire la suiteLe regard honnête de Michel del Castillo sur Franco et son temps .
Monsieur Schmitt, on vous sent en colère…
Contre le système ? Totalement, oui. Notre système judiciaire est bien malade.
Lire la suiteLe père d’Anne-Lorraine, un an après… (2/2) : Un système devenu incontrôlable ?…
Il faut donc « reprendre l’école » : c’est « la » vraie tâche, « la » vraie réforme et la seule, urgentissime et indispensable, dont on ne pourra pas faire l’économie car l’éducation – c’est bien connu – est à la base de tout.
Télescopage –heureux- de l’actualité : nous parlons une fois de plus d’Éducation, aujourd’hui et demain ; et justement, ce soir, mercredi 17 Décembre, la Nar accueille de nouveau Marcel Gauchet, directeur d’études a l’École des hautes études en sciences sociales et rédacteur en chef du Débat.
La réflexion qu’il développera est évidemment d’une pleine actualité , au moment ou de nombreux enseignants manifestent contre la réforme élaborée par leur ministère, et qui est pour l’instant reportée, en attendant peut-être d’être abandonnée : mais est-ce là le seul et le vrai problème ? est-ce le plus important ?
On voit bien qu’il est essentiel de s’interroger sur « Les conditions de l’éducation ». Tel est le titre du récent ouvrage (1) co-écrit par Marcel Gauchet avec Marie-Claude Blais, maître de conférences a l’Université de Rouen et Dominique Ottavi, professeur a l’Université de Caen.
Lire la suiteMarcel Gauchet et « Les conditions de l’Education »…
On peut dire et écrire des millions de choses sur l’école. Il y a là matière à rédiger un – ou plusieurs… – gros bouquins, tant le sujet s’y prête : à cause de son importance, dans le fond, bien sûr mais aussi à cause de l’état pitoyable dans lequel se trouve notre école, hic et nunc.
David Gattegno sur Religion ▬ Aristide Ankou : Regards…
“Morale spéculo-théologique contre moraline sociale, on ne sait pas trop chez qui, du pape François ou…”