Il n’y a pas si longtemps, François Fillon en avait étonné plus d’un en reconnaissant publiquement que « les caisses étaient vides ». Certes, tout le monde le savait, mais la nouveauté résidait dans le fait que le Premier ministre, sans langue de bois, assumait crânement la situation, manifestant ainsi sa lucidité mais aussi un courage personnel indéniable. Toujours dans le même registre, voici ce qu’il a déclaré au micro de RTL, le 13 mars 2008 (et que l’on ne peut, bien sûr, qu’approuver…):
Grégoire Legrand sur De quelques récents anglicismes
“Je trouve prodigieux que l’on puisse donner son avis sur un auteur que l’on n’a pas…”