De ma fenêtre…
Par Olivier Perceval. On les sait irascibles, pénétrées de l’importance de leur cause « déconstructrice » , hallucinées par leur mission libératrice, sans humour, et portant gravement le « salut » du monde (qu’elles veulent transformer en enfer prométhéen) sur leurs fragiles épaules. Bon, on pourrait revenir sur leurs enfances malheureuses, l’incompréhension dont elles furent …
Henri sur Quand Chateaubriand brosse le portrait de…
“Oui, bonne description de Chateaubriand. Il faudrait peut être (re)lire « Songe d’un homme ridicule de Dostoïevski…”