A propos de la « puissante fresque » économique de Pierre Debray que JSF est en train de publier…
« Puissante fresque », l’expression, pour qualifier cette série, est de l’un de nos lecteurs, collaborateurs et amis. La a publication de ladite fresque se poursuit. 4 ou 5 articles restent à paraître. Comme l’écrit Debray lui-même dans cette étude à propos d’un ouvrage célèbre : « Je ne saurais trop en recommander la lecture à nos étudiants ». Aux autres aussi, d’ailleurs. C’est le cas de le dire ici, où l’on peut acquérir ou fortifier une culture étendue et claire, historique et prospective, en matière économique dans laquelle nous nous plaignons souvent de n’avoir pas mené une réflexion suffisante, à l’aune de l’école maurrassienne.
Deux informations en complément : 1. Cette série sera réunie in fine en un document unique. 2. Elle sera suivie d’une seconde série : « Propositions pour une réforme de l’économie ». En fait, une autre vision des choses. A suivre donc. Bonne lecture. JSF
Le poison de la peur… C’est ce que Houellebecq appelle soumission et vers quoi nous courons à marche forcée. (Le Figaro de ce matin)
Faut-il commenter ? Tout a été dit, déjà, notamment dans ces colonnes. La France patauge dans la Covid, Macron a sorti de son chapeau son comité de 35 citoyens tirés au sort pour amuser la galerie, les médias tentent d’étouffer la sale affaire Duhamel, la doxa s’effraie des risques d’une Nuit de Cristal américaine, le Chef de l’Etat, à 3 heures du matin, dit en anglais sa foi démocratique, etc. Le temps passe. Les Français sont promenés, ballotés, trompés. Leur démocratie est plus « déceptive » que jamais… La question n’est plus tellement de savoir si notre projet monarchique est ou non réalisable, elle est plutôt de se demander si un tel Système a ou non des chances de se perpétuer longtemps. C’est la question de sa possibilité de survie à lui, qu’il convient hic et nunc de poser. A nous de la poser. Je Suis Français
Noël Stassinet sur Éphéméride du 30 avril
“Politique erratique de Gaston Phoebus ? Gaston III de Foix, IV de Béarn (d’autres disent X)…”